Souvent, quelque fois, peut-être, vous pourrez toujours nous croiser sur Twitter, en cent quarante caractères car nous n'en manquons jamais.
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Sur Tumblr, nous avons un compte pour illustrer les tweets de @erotictac avec des photos (de caractères) empruntées de-ci, de-là sur Internet.
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Nous avons un autre compte tumblr, cette fois-ci réservé aux nouvelles érotiques.
2- 1, s'il n'y a pas d'interruption de plusieurs heures
3- Je fais toujours l'amour. Par exemple, même jeune, j'ai toujours été incapable de prendre du plaisir avec une prostituée. Mais on peut le faire de plusieurs manières, dont une : "je te baise, sal..."
4- Baise-moi
5- Oui, ça m'a coupé le sifflet.
6- Me stimule je crois, me freine sûrement pas.
7- non, ça ne m'excite pas
8- caresser un copain, au milieu de toute une troupe endormie, sous la tente, par -10° et 1m de neige ! Hein, pas mal ? et en plus totalement vrai.
9- Une fille rencontrée une seule fois me reçoit chez elle en minijupe, et a besoin de descendre une valise de dessus une armoire, et me demande de venir l'attrapper. Elle n'avait pas de culotte évidemment, et ensuite elle m'a carrément violé. Malheureusement, à cette époque, je n'étais pas à la hauteur, j'espère qu'elle m'en excuse si elle me lit.
10- mes jambes, il paraît qu'elles sont belles (dixit mes filles).
11- Oui
12- Oui
13- Elles le disent, celles avec qui ça se passe bien, donc, celles-là, je les crois. Trop vastes, c'est parce qu'elles ne sont pas assez musclées, moi je ne peux pas grandir ...
14- A mes partenaires féminines que j'aime, mais presque jamais avec moi dans le rôle de l'homme.
15- Je ne crois pas à "l'âme", donc cette question n'a pas de sens pour moi. Je suis fidèle à tous ceux qui m'ont fait, qui me font, je me souviens d'eux et je les respecte. Est-ce que cela m'interdis d'en aimer d'autres ? NON, jamais.
16- Tout ce qui n'est pas consenti.
17- Seules les réponses sont indiscrètes.
18- Sûrement pas ! quelle garantie j'aurais de revenir, et quel intérêt, si je suis trop con pour apprécier l'avantage ?
Cette nuit, jai fait un rêve de toi mon inconnue sous X.
Nous avons convenu un rencard dans ta belle ville, bien connue d'ailleurs pour ses fortifications de Vauban.
A lentrée de la Citadelle de Besançon, haut lieu perché et prisé par les touristes, cest là qu'a lieu notre point de rendez-vous.
Pour la circonstance, je tai imposé une tenue vestimentaire, dune part pour te reconnaître mais aussi pour le piquant de cette première rencontre.
Je tai donc recommandé de mettre une jupe fendue, de préférence, pas de culotte ou une simple petite ficelle et pas de sous tif. Moi aussi je mabstiendrai de mettre un slip sous mon jeans.
Le décor planté, jarrive pile à lheure de louverture et du rendez-vous, tu es déjà là, près du pont levis, ravissante silhouette, je gare la voiture et mapproche vers cette chevelure blonde, mon seul repère est la photo de toi qui représente ton pied !
Mais je nai aucun doute, cest bien toi, la mystérieuse gazelle qui a paragraphé sur mon blog.
Je me penche pour te glisser un bisou sous ta chevelure, là dans ton cou, puis sans un mot, te prends la main est entrons dans cet endroit mythique et magique à la fois.
Cest une belle journée de printemps, le soleil est déjà bien haut dans le ciel, les oiseaux gazouillent, les daims sarrêtent de brouter pour nous voir passer. et semblent nous faire une haie dhonneur.
Nous montons le petit chemin bordé de chênes, entre ces arbres, des parterres disposés de tulipes, muscaris et jacinthes nous embaument les naseaux. Les forsythias sont en fleurs, les lilas et dautres arbustes ont les bourgeons près à éclater.
Cest le printemps, la sève qui monte (tiens tiens !) et c'est tout un cycle qui redémarre !
Je lâche ta main si douce, pour porter la mienne autour de ta taille, je glisse celle-ci sur le haut de tes fesses pour vérifier si les consignes ont été appliquées . Tu tournes ton visage vers moi et dun regard et sourire complices, je comprends de suite que tu nas rien mit sous ta jupe fendue !
Tu passes également ton bras autour de ma taille, ainsi, bras dessus, bras dessous nous continuons à marcher, je tentraîne vers les escaliers qui mènent sur les remparts.
Arrivés en haut, quelle vue magnifique sur cette belle ville, un petit vent frais vient caresser ta chevelure, un frisson tenvahit, je te serre un instant tout contre moi puis temmène vers une petite guérite qui servait jadis aux veilleurs de nuit. A lintérieure, lespace est minuscule, sur les murs trois meurtrières servaient à voir et à se défendre de lennemi ou des assaillants.
Tournée vers le vide, tu admires par une des lucarnes, le panorama qui soffre à toi, posté au plus près de toi, juste derrière, ma main s'engouffre dans la fente de ta jupe jeffleure tes cuisses et remonte insidieusement vers ton entre jambes, remonte un peu plus sur tes fesses, caresse ta croupe jusqu'a ta chute de reins, puis plonge dans ta raie et penêtre le majeur dans ta cavité humide et brulante, je fouille, farfouille, introduit un deuxième doigt et continue mon inspection de ta cache secrète !
Je tattarde encore quelque peu, tout en poussant vers lavant vers le mont vénus, ce qui a pour effet de te faire frétiller, mon autre main glisse déjà sous ton chemisier, elle joue à cache cache avec tes mamelons,allant de l'un à l'autre, elle ne cesse de caresser et de palper ces rondeurs affriolantes !
J'aime les seins tous les seins...
Ton regard impassible s'est fixé sur les méandres du Doubs, tu sembles imprenable, inviolable
Aussi je descends le zip de mon jean's, par derrière et par surprise je sors l'artillerie lourde... mon canon de 180 mm et d'un mouvement de bassin vers l'avant bien précis je l'enfonce d'une poussée droite et rectiligne jusqu'au profondeur de tes entrailles, ce qui a pour effet de te plaquer contre la muraille.
Ainsi prisonnière de ton assaillant, je me mets à te pilonner, je canonne ton embrasure, canarde ton orifice, je sens une petite rébellion, des gémissements, une complainte !
Il faut que je concrétise mes assauts, je mactive, accélère, les va et vient sont dune telle intensité que je ne maîtrise plus tes soubresauts et cris, je saisis de la main mon arme fatale, (celle illustrée dans le blog) relève ta jupe et dans un râle de délivrance je dirige mes salves de sperme sur les rondeurs de tes fesses, je les noie de ma substance, les martèle de coups de verge pour mater ta rébellion
Ca y est le dernier bastion est tombé, haletant et hagard, je sors de mon sommeil, mon phallus érigé comme la muraille que je surplombais il y a une minute est tout trempé !
Une seule solution pour faire retomber ce foutre et la tension que je viens de subir cest . Chut vous êtes dans la vie intime de lauteur !!!
Qui creusent les souvenirs
Et les mémoires à venir
Merci de ta participation
(Elle et Lui)